Le glacier Blanc, vedette du parc national des Ecrins pourrait bien disparaître dans les années à venir si rien n’est fait pour limiter le réchauffement climatique. Depuis la fin des années 1980, il ne cesse de reculer, et perd en moyenne sept mètres d’épaisseur par décennie.
Richard Bonet, responsable du service scientifique du parc national des Ecrins, nous explique pourquoi le parc est un laboratoire privilégié dans l’observation du dérèglement climatique. Une interview menée par la journaliste Leia Santacroce, pour le magazine Géo.
